Paris était présente dans le carré final mais c'est finalement Barcelone qui deviendra la première Mobile World Capital en organisant, en plus du salon Mobile World Congress ( MWC ), des événements autour de la téléphonie mobile tout au long de l'année.
Bien placée grâce à son organisation depuis 5 ans du salon MWC dans son édition occidentale chaque début d'année ( il en existe une variation asiatique en fin d'année ), la cité catalane restera maître du show de 2013 à 2018 mais elle aura cette fois de nouvelles obligations.
La GSMA, qui regroupe les principaux opérateurs mobiles dans le monde, qui supervise l'événement, a voulu en effet aller plus loin que le seul événement de quatre jours organisé traditionnellement. La ville hôte doit mettre en place des événements et des infrastructures à l'année, faisant d'elle une
capitale mobile mondiale, avec par conséquent un véritable rayonnement mondial.
Un rôle à exprimer toute l'année
Cela passera par l'installation d'un Mobile World Centre, fait d'espaces de démonstration des technologies mobiles, d'expositions temporaires et permanentes autour du monde mobile, et par l'organisation d'un Mobile World Festival dans toute la ville et ouvert au public ( par opposition au MWC, salon professionnel ), avec des festivals, des événements sportifs et des remises de prix.
Selon les premières estimations, la transformation de Barcelone en Capitale Mobile Mondiale devrait rapporter plus de 300 millions d'euros dès la première année et permettre la création de milliers d'emplois saisonniers ou non.
Barcelone évalue à 3,5 milliards d'euros les retombées que produiront les sept années sous ce statut. Une manne que vont regretter les candidates malheureuses à ce titre : Milan, Munich...et Paris. Il aura fallu 18 mois pour départager les 30 villes candidates.
Bien placée grâce à son organisation depuis 5 ans du salon MWC dans son édition occidentale chaque début d'année ( il en existe une variation asiatique en fin d'année ), la cité catalane restera maître du show de 2013 à 2018 mais elle aura cette fois de nouvelles obligations.
La GSMA, qui regroupe les principaux opérateurs mobiles dans le monde, qui supervise l'événement, a voulu en effet aller plus loin que le seul événement de quatre jours organisé traditionnellement. La ville hôte doit mettre en place des événements et des infrastructures à l'année, faisant d'elle une
capitale mobile mondiale, avec par conséquent un véritable rayonnement mondial.
Un rôle à exprimer toute l'année
Cela passera par l'installation d'un Mobile World Centre, fait d'espaces de démonstration des technologies mobiles, d'expositions temporaires et permanentes autour du monde mobile, et par l'organisation d'un Mobile World Festival dans toute la ville et ouvert au public ( par opposition au MWC, salon professionnel ), avec des festivals, des événements sportifs et des remises de prix.
Selon les premières estimations, la transformation de Barcelone en Capitale Mobile Mondiale devrait rapporter plus de 300 millions d'euros dès la première année et permettre la création de milliers d'emplois saisonniers ou non.
Barcelone évalue à 3,5 milliards d'euros les retombées que produiront les sept années sous ce statut. Une manne que vont regretter les candidates malheureuses à ce titre : Milan, Munich...et Paris. Il aura fallu 18 mois pour départager les 30 villes candidates.
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